Naruhiko Teramoto, La greffe du discours scientifique dans Les Chants de Maldoror : une expérimentation physiologique de Paul Bert p 82-88. Pourquoi une messe et une célébration, même discrète, pour un jeune poète révolté qui les aurait selon toute vraisemblance refusées? Deux ans avant sa mort Isidore Ducasse-Lautréamont navait-il pas lancé ses interdits dans les sulfureux Chants de Maldoror: écrit que dessiné ou peint, se rattache à lautomatisme. Le hasard, labandon,
Clara, Un Chancelier sur la sellette, pp 55-59. Jean-Louis Cornille, Le Rimbaldo-Lautréamontisme p. 7-19, Moi, je fais servir mon génie à peindre les délices de la cruauté. Jean-Pierre Lassalle, Lautréamont et nous de Louis Aragon p. 1-3,
Dossier : Les coquilles dans les Chants de Maldoror p. 3-23 Daniel Aranjo, Jules Laforgue : rêverie tarbaise p. 317-333, Jean-Jacques Lefrère, Les tirages du Chant premier et de Poésies p. 100, Pascal Pia, Schizophrène ou pince-sans-rire? réédition p. 76-80,
François Caradec, Le Coût de la treizième. Réponse à larticle de P-J. Moother p. 10, Jean-Pierre Lassalle, La quatrième de couverture du Marat inconnu p. 57, Et il continue de plus belle, ces temps-ci, avec Ligne de risque, la revue de Yannick Haenel et François Meyronnis. Comme quoi, Lautréamont avait raison de déclarer : A lheure où jécris, de nouveaux frissons parcourent latmosphère intellectuelle ; il ne sagit que davoir le courage de les regarder en face. Jeudi 5 août 2010, par Date de rédaction antérieure : 11 janvier 2010. Jveux les chants de Maldoror comme seule oraison funèbre iframe srchttps:www.franceinter.frembedplayeraod56b659db-85b5-439f-ac48-3275111ad744 width100 height64 frameborder0 scrollingnoiframe Lautréamont, Les Chants de Maldoror, IV, 2, p. 138 éd. ULB Autour du Maldoror de Marcel Jean et Arpad Mezei.