Les Rencontres De Le Pen À Meaux

M. Butel dit que la situation de lagriculture devient chaque jour plus désastreuse, que si les cultivateurs nont rien perdu de leur énergie et de leur amour du travail, ils commencent à se décourager en voyant tant defforts aboutir à la ruine M. Butel ajoute que la société dagriculture de Meaux, qui a si largement contribué au vote des droits de douane de lannée dernière, se doit à elle-même de redoubler de volonté et defforts pour diminuer autant que possible la ruineuse influence des traités de commerce qui nous lient jusquen 1892. Nos députés et sénateurs sont remplis de bonne volonté, mais leurs efforts auront dautant plus de chances de succès, quils sappuieront davantage sur les revendications énergiques des cultivateurs. Les demi-mesures prises lannée dernière nont et ne pouvaient presque rien produire ; aussi faut-il que la Chambre examine prochainement à nouveau les tarifs de douane et surélève les taxes sur les céréales et les bestiaux. Cest la première mesure qui simpose à lattention du législateur, mais à elle seule elle ne saurait sauver la situation. A côté de cette question des tarifs de douane, il en est dautres non moins importantes que les députés devront envisager résolument pour les faire aboutir ; les tarifs de pénétration, la répartition équitable de limpôt, la dénonciation du traité de commerce avec lItalie, PARISY Victor, cultivateur, à La Barre, commune de Les prévisions que pouvait inspirer lexamen des machines nont pas été déçues. La Moissonneuse de Wood a su profiter à Marcy, comme à Chartres, des avantages dont elle a été pourvue au point de vue mécanique. Il y a eu de grandes hésitations pour le second rang. La Moissonneuse MacCormick a fini par lemporter sur la Moissonneuse Hornsby, sa rivale ; quelques personnes ont émis lavis que le succès de la grande moisonneuse anglaise aurait été assuré si elle avait attelé trois chevaux au lieu de deux. Dans notre département de Seine-et-Marne, il existe actuellement 6 syndicats agricoles. A Provins, à Meaux, à La Ferté-Gaucher, à Rozoy, à Melun et à Fontainebleau. PLUQUET Albert, cultivateur, à Isles-lès-Villenoy M. Grandeau a rencontré de nombreux contradicteurs et particulièrement en Allemagne, mais des expériences plus récentes faites par des agronomes allemands, celle du docteur Voelker, en Angleterre ; de M. Petermann à la station de Gembloux, en Belgique ; sont venues confirmer les résultats obtenus par le chimiste français. On peut donc dire que la cause du phosphate précipité est gagnée aujourdhui. 1885 GAUTIER Léon, cultivateur au Plessis-Placy, par Indépendamment des droits de douane, il y a dautres mesures désirables, telles que la diminution des impôts qui pèsent sur la culture, et leur égale répartition entre toutes les catégories de contribuables. Aujourdhui, lagriculteur paie en impôts 25 00 de son revenu, lindustriel 14 00, le rentier 4 00. les rencontres de le pen à meaux les rencontres de le pen à meaux Jouarre, et à Paris, rue Cuvier, 57. 1883 VIET, cultivateur à Rougeville, commune de Saâcysur-Marne. Vendredi 25 septembre à 20 h 30, à lécole Normandie-Niemen Ils ont été placés en détention provisoire dans lattente du procès mercredi, une semaine jour pour jour après lagression survenue à Othis Seine-et-Marne. Outre les cambriolages qui ont pu booster le FN, la montée des atteintes aux personnes particulièrement des petits délits est également susceptible davoir modifié le vote de certains habitants-électeurs qui y ont été confrontés. Nous espérons seulement que toutes vos déclarations sont un minimum fiables sinon ce serait catastrophique de voir débarquer à la tête de notre pays une personne qui fantasme et qui ne connait strictement rien au fonctionnement de son industrie agro-alimentaire. La Société a distingué parmi ces maîtres de lenfance six instituteurs dont lenseignement à la fois théorique et pratique méritait de fixer son attention. les rencontres de le pen à meaux M. Le Chevalier donne connaissance des noms des personnes qui se sont fait inscrire depuis la dernière séance comme membres du Syndicat ; ce sont MM. Eugène Duferrier, cultivateur à Certigny, commune de Coulombs, Charles Cherret, cultivateur au même lieu; Terré, cultivateur à Méry; Alphonse Blondel, cultivateur à Saint-Soupplets ; Alphonse Trumelet, cultivateur au même lieu. Elle demande pour la farine un droit correspondant à celui du blé, laissant au meunier comme au cultivateur une rémunération suffisante. A quatre heures moins un quart la séance est levée. 1880 PARMANTIER, avoué, conseiller municipal de Meaux, rue Gambetta, 6, à Meaux. François Fillon juste avant le débat présidentiel sur TF1, le 20 mars Photo Eliot BlondelPool-Réa. .